Résistance thermique & crédit d’impôts
Pour connaître la résistance thermique d’un isolant et donc sa performance, il vous suffit de calculer son R…
Qu’est-ce que R ou la résistance thermique ?
La résistance aux flux de chaleur, dite résistance thermique (« R » exprimé en m2.K/W), est LE critère d’évaluation de la performance d’un matériau isolant. Elle dépend de la conductivité thermique (λ, le lambda) de l’isolant et de son épaisseur (e exprimée en mètre) : R = e / λ. Plus la résistance thermique R est grande, plus le matériau est isolant.
Maintenant que le « R » est clairement défini, penchons-nous sur les enjeux de la résistance thermique dans la course au crédit d’impôt…
Pour obtenir un crédit d’impôt, il faut justifier l’installation d’une très bonne isolation ; à savoir que le coefficient R soit au minimum égal à 7.
Pour obtenir cette performance énergétique, il faudra miser sur un isolant avec une faible conductivité thermique et donc qui soit très épais. Ainsi, moins le matériau est conducteur, plus le coefficient R est grand ! Plus l’isolant est performant, moins il en faudra pour atteindre les performances escomptées et plus l’opération sera économique… La solution isolante la plus adéquate et la plus économique (n’oublions pas qu’avec un R=7, vous obtenez un crédit d’impôt !) serait d’opter pour un isolant doté d’une faible conductivité thermique, sans oublier une forte résistance au feu et à l’humidité.
Selon ces différents critères, la laine de coton se retrouve dans le haut du panier ; d’autant plus qu’elle est un isolant biosourcé, respectueux de l’environnement.
Voici quelques indications quant à son poids selon le R :
Résistance thermique & crédit d’impôts
Pour connaître la résistance thermique d’un isolant et donc sa performance, il vous suffit de calculer son R…
Qu’est-ce que R ou la résistance thermique ?
La résistance aux flux de chaleur, dite résistance thermique (« R » exprimé en m2.K/W), est LE critère d’évaluation de la performance d’un matériau isolant. Elle dépend de la conductivité thermique (λ, le lambda) de l’isolant et de son épaisseur (e exprimée en mètre) : R = e / λ. Plus la résistance thermique R est grande, plus le matériau est isolant.
Maintenant que le « R » est clairement défini, penchons-nous sur les enjeux de la résistance thermique dans la course au crédit d’impôt…
Pour obtenir un crédit d’impôt, il faut justifier l’installation d’une très bonne isolation ; à savoir que le coefficient R soit au minimum égal à 7.
Pour obtenir cette performance énergétique, il faudra miser sur un isolant avec une faible conductivité thermique et donc qui soit très épais. Ainsi, moins le matériau est conducteur, plus le coefficient R est grand ! Plus l’isolant est performant, moins il en faudra pour atteindre les performances escomptées et plus l’opération sera économique… La solution isolante la plus adéquate et la plus économique (n’oublions pas qu’avec un R=7, vous obtenez un crédit d’impôt !) serait d’opter pour un isolant doté d’une faible conductivité thermique, sans oublier une forte résistance au feu et à l’humidité.
Selon ces différents critères, la laine de coton se retrouve dans le haut du panier ; d’autant plus qu’elle est un isolant biosourcé, respectueux de l’environnement.
Voici quelques indications quant à son poids selon le R :
Retrouvez toutes les informations relatives à ISOtextil ici, l’isolant vert de chez Isoldôme, composé exclusivement de laine de coton, produit sans sel de bore… A bientôt !